
Le Festival Grand West est né en 2020 à Quiberon (Morbihan). L’idée de départ, portée par le cinéma le Paradis et la librairie de Port Maria était d’emmener le public au cœur du grand ouest américain avec des livres et des films. Relier le « Petit Ouest Breton » au cousin outre atlantique, « Grand West ».
En 2021, le cinéma poursuit l’aventure, avec le soutien de la librairie. Cette seconde édition voit l’arrivée des Amérindiens, même s’ils ne sont pas physiquement présents, ils sont au cœur des échanges, des projections et des rencontres littéraires.
Après une pause en 2022, le temps de se recentrer sur l’identité véritable et la raison d’être du festival, il est décidé que l’édition 2023 puis les suivantes mettraient les peuples amérindiens des États-Unis et du Canada au cœur du festival, en leur présence, pour ne plus parler à leur place mais avec eux.
Ainsi, tous les deux ans désormais, Grand West accueille à Quiberon des représentants des différentes nations amérindiennes pour parler avec eux de leur Histoire, de leurs histoires, de la renaissance de leurs cultures et du rôle qu’ils entendent désormais tenir dans notre société.
Cinq jours durant, le festival, qui se déroule au Cinéma le Paradis, donne à entendre d’autres voix d’Amérique, des voix qui ont des choses à nous dire pour aller peut-être mieux et pour prendre d’avantage soin de ce qui nous entoure, végétal et animal.
« We are still here » (nous sommes toujours là) ne cessent de marteler ces peuples. Donnons-leur la parole et écoutons-les.
François Busnel, parrain du Festival Grand West
Dès le lancement du festival en 2020, nous avons souhaité qu’il soit accompagné d’un parrain. Cinéma, littérature, amour de l’Ouest américain… Il ne nous a pas fallu longtemps pour nous arrêter sur le nom de François Busnel.
L’animateur qu’il était alors de la Grande Librairie (France 5), le réalisateur qui venait de tourner un documentaire sur l’écrivain américain culte Jim Harrison (Seule la terre est éternelle), l’amoureux des grands espaces américains qu’il avait toujours été, était la personne idéale.
Il nous a d’abord dit “non”… Nous avons entendu “peut-être”. Il nous a ensuite dit « peut-être » et nous avons entendu OUI. Depuis la première édition, il accompagne fidèlement notre aventure, tant par sa présence que par ses conseils et son aide. Qu’il en soit remercié.
» Longtemps, j’ai cherché le paradis. Mon coin de paradis. Il y a quelques années, je l’ai trouvé du côté de la Yellowstone River, dans le Montana : un endroit sublime précisément nommé Paradise Valley. C’est loin.
Et puis, un peu par hasard et en suivant la femme que j’aime, j’ai découvert un autre paradis, à deux pas de la Côte Sauvage, le long d’une plage aussi vaste que les prairies qui encerclent la Yellowstone, face à une île magnétique aux pierres sacrées. Dès le premier jour, je me suis dit : Oui, c’est le paradis. Depuis, j’y ai posé mon kayak et je m’y invite aussi souvent que je le peux.
Du coup, entre Le Paradis de Quiberon et Paradise Valley, Montana, nous avons bâti un pont en créant le festival Grand West, un rassemblement qui permet aux saltimbanques de ces deux horizons de se retrouver, d’échanger, d’inventer ce qui donnera un jour un film ou un livre. Créer.
Franchement, y a-t-il plus belle occupation, quand on est au Paradis ? «
François Busnel

Dans la presse
Proinde concepta rabie saeviore, quam desperatio incendebat et fames, amplificatis viribus ardore incohibili in excidium urbium matris Seleuciae efferebantur, quam comes tuebatur Castricius tresque legiones bellicis sudoribus induratae. Proinde concepta rabie saeviore, quam desperatio incendebat et fames, amplificatis viribus ardore incohibili in excidium urbium matris Seleuciae efferebantur, quam comes tuebatur Castricius tresque legiones bellicis sudoribus induratae.Proinde concepta rabie saeviore, quam desperatio incendebat et fames, amplificatis viribus ardore incohibili in excidium urbium matris Seleuciae efferebantur, quam comes tuebatur Castricius tresque legiones bellicis sudoribus induratae.Proinde concepta rabie saeviore, quam desperatio incendebat et fames, amplificatis viribus ardore incohibili in excidium urbium matris Seleuciae efferebantur, quam comes tuebatur Castricius tresque legiones bellicis sudoribus induratae.